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 Hayden Mitchell (fini)

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Hayden Mitchell

Hayden Mitchell

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Localisation : Dublin
Emploi/Etudes : aide-soignant
Age du Perso : 221 ans mais en paraît 23 ou 25...
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MessageSujet: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeSam 24 Mai - 20:20

Hayden Mitchell
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INFORMATIONS GENERALES
passe ta souris sur la zone de texte pour connaitre mon identité générale
Bonjour je m'appelle Hayden Mitchell mais en général on m'appelle Mitch. Je suis né le 15 août 1792 à Northampton, Angleterre et par conséquent j'ai 221 ans. Je suis vampire et j'appartiens au groupe Reynard. Mais tu veux en savoir plus sur moi? Je suis aide soignant et on me qualifie souvent de doux, gentil et attentionné, même si je reste imprévisible, parfois violent et même... menteur, cela dit je m'en porte bien. Il faut savoir que j'ai une cicatrice en plein coeur, que je fume et que je joue souvent avec mon briquet. J'ai aussi la sale manie de retomber souvent dans la violence et que je suis une âme torturée.hétéro et veuf.

LE MONDE OCCULTE
passe ta souris sur la zone de texte pour connaitre ce que je sais de l'occulte
Mais parlons un peu plus du monde occulte. Voyez-vous, je connais l'existence des vampires, lycans, sorcières, primes mais je ne connais pas l'existence des vampires / lycans / sorcières / primes (laisser ce que vous ne connaissez pas) et ces choses-là, j'en pense ce que vous en pensez. Ma première réaction quand j'ai connu ce monde fut de m'y adapter, d'en jouer pour vivre au mieux avec ou sans elles. . Si on me disait que ce monde existait, je pense que je réaction si ne connait pas.

CARACTERE, PSYCHOLOGIE, PHYSIQUE
passe ta souris sur la zone de texte pour découvrir tout ça

Hayden était un bon garçon, un bon paysan, un bon époux, et un bon soldat. Il a toujours obéi, respecté les lois et le sacré, baissant la tête devant ses supérieurs et devant Dieu. Dans sa campagne, autour de Northampton, tout était réglé comme du papier à musique et les assassins étaient jugés et pendus. Son mariage et la naissance de ses enfants l'ont fait entrer de plein pied dans un monde d'adultes réfléchis et sérieux, qui pesaient longuement le pour et le contre avant une décision. Bien sûr, il y avait bien quelques coups de tête, mais le résultat de tels comportement démontrait qu'ils n'étaient pas bons : "faire son devoir" a du sens pour lui. Mais attention, sa bonté a une limite, sa grande patience. Si l'on en vient à bout, alors, Hayden se déchaine et ne contrôle plus rien. C'est arrivé plusieurs fois, alors qu'il était enfant, adolescent, ou même adulte, au marché de Northampton en particulier, ce qui lui valut le respect et la crainte, même de ceux que sa gentillesse ne suffisait pas à convaincre. Pour éviter qu'une situation ne dégénère, il est arrivé que Mitchell mente. Cela date de la fois où il se rendit compte, âgé de seulement 9 ans, que mentir pouvait éviter les conflits et surtout les trop longues explications. S'il était du genre taiseux lors de sa vie humaine, il le fut moins par la suite, quand son état de vampire lui permit de se rendre compte qu'il pouvait parler sans crainte, puisqu'il était le plus fort, et bien au-dessus de la condition de ceux qui lui faisaient face. Pas comme lorsque, simple paysan, il devait toujours céder le pas et était persuadé d'avoir à le faire. Les années passant, Mitchell a acquis une certaine vision de la vie, une philosophie de tolérance quant au comportement des gens, qu'ils soient humains ou non : tout le monde peut se tromper et se racheter. Il tente au-moins de comprendre ce qui les conduit là.


SUR LA CHAISE D'ORDINATEUR
Et moi bah je m'appelle Dédalus j'ai passé l'âge... et je suis un Garçon. J'ai connu le forum sur un site de vote de fofo et j'en pense que du bien. Je pourrais être là souvent. Et je te promets j'ai lu le règlement 'du sang pour du sang'.
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Dernière édition par Hayden Mitchell le Lun 26 Mai - 6:57, édité 3 fois
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Hayden Mitchell

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeDim 25 Mai - 9:25



TOUT LE MONDE A UNE HISTOIRE


Waterloo la sanglante :

Waterloo... une succession de petites collines, et de contingents anglais, 25 000, nous étions. Moi, dans l'infanterie. Avec mes camarades, nous avons marché des heures durant, avec quelques arrêts pour soigner nos pieds, et vérifier nos armes. Finalement, Wellington nous a cantonné sur le plateau de Mont-Saint-Jean. Plus exactement, j'étais à la ferme d'Hougoumont. Il faisait très chaud, car nous étions en juin. Juin 1815. J'avais 23 ans, j'étais marié et père de deux fils. J'avais tout pour être heureux : nous allions battre Napoléon, le tyran. C'était une bataille décisive et nous le savions. Un seul ordre : tenir absolument. C'était clair. Alors, nous avons fortifié la ferme-château, pensant nous protéger de l'artillerie et des regards. Nous suions sang et eau, mais au-moins, le coin était tranquille, pour le moment. C'était le 17. La pluie s'est mise à tomber, de plus en plus drue, normale et bien venue après cette journée éprouvante. Il y avait eu quelques escarmouches et je n'étais pas tranquille. Bien sûr, ma solde serait bienvenue et nous aiderait, Catherine et moi, à élever les enfants, mais je pouvais revenir estropié aussi... Pas génial pour un paysan comme moi. La nuit durant, il plut et sous les bâches qui nous servaient de tente, les discussions salaces, les récits héroïques, se sont tus. Nous ne dormions pas ou alors, d'un mauvais sommeil. Nous, le 2ème bataillon des Coldstream guards, sous les ordres de Mc Donnell, nous partagions ces murs avec des Prussiens. C'était la première fois que j'entendais cette langue là, dure, gutturale. Je préférais rester avec mes copains.

A 6 heure le lendemain, branle bas de combat, le général Wellington lui-même a fait le tour de nos positions. Juste le temps de rajuster nos uniformes en nous mettant en rang si vite, que nous en dérapions dans la boue. Je l'ai vu de près ! je pourrais raconter aux enfants, à mon retour. Il nous a posté à l'ouest de la grange, on a obéi. Ce type, c'était un fameux, parce que quand les Français ont attaqué, c'est les Prussiens qui ont pris. Pas nous. On était à l'abri. N'empêche qu'à midi, on a commencé à déguster. Les Prussiens, qui battaient en retraite, nous ont rejoint, et nous, on a chargé, on a repoussé les Français ! Tout l'honneur était pour nous ! C'était ma première bataille, et oui, j'ai crevé de trouille, et en même temps, j'étais tellement excité par la présence de mes compagnons et leurs invectives ! J'ai vu les morts, après, les blessés, c'était encore pire...  pas le temps de réfléchir : une demie-heure passée, les Français font une percée et entrent dans la cour, qui aurait été prise sans nous ! on les a taillé en pièce, avec la rage du désespoir et une idée en tête : "tenir". J'avais du sang partout. J'ai frappé, frappé, frappé, complètement paniqué à l'idée que ces Bonapartistes puissent gagner. Jamais avant je n'avais fait cela. Jamais... L'odeur du sang et des boyaux était si forte que j'ai tout vomis. On glissait sur le sol poisse de tous ces morceaux humains. Pas le temps de réfléchir. On doit se mettre à l'abri des obus. J'ai peur. Je me pisse dessus, mais je ne suis pas le seul. Personne ne se moque de nous. On tient toujours le mur sud du jardin, comme on nous a dit de le faire. Dans le ciel, quelques nuages, mais il ne pleut pas.

Il est trois heures de l'après-midi et on se bat de plus belle. Une heure plus tard, l'artillerie française donne et met le feu aux bâtiments, des soldats brûlent vifs, on les entend hurler. On sent l'odeur des corps. Mais je ne réagis plus maintenant. Je me bats, encore et encore, pour rester vivant, plus pour tenir cette maudite position ! Par miracle, on reçoit un charriot de munitions : il était temps ! on recharge, encore et encore, et on tue, encore et encore. C'est vers 6 h que je reçois une balle, juste sous le coeur, qui me brûle et je m'effondre dans la boue et le sang. Mes camarades me croient mort. Moi aussi... à la première bataille et en héro.  C'est fini, jamais je ne reverrais ma femme, Cat' et mes fils, John et Peter. Après la contre offensive prussienne une heure plus tard, et le retrait des troupes, il ne reste plus ici que ruines et cadavres découpés... Des pillards sont venus détrousser les corps, mais l'un d'eux a vu que je n'étais pas mort, il m'a emmené avec lui, derrière le mur sud. Là, il m'a vidé de mon sang, je ne pouvais même pas me défendre.

Une nouvelle vie :

Mon sire était blond, avec un visage carré, du genre déterminé et sans âme, qui profitait de toutes les situations pour se nourrir et s'enrichir. C'était un Ecossais du nom de Wallace Mc Cormick. Calmement, il a attendu que je me réveille, puis m'a dit de le suivre. Je ne voulais pas, mais sans comprendre, je l'ai suivi. Mc Cormick me raconta une histoire, des jumelles... j'écoutais cette légende. Je me sentais si mal... et en même temps, je découvrais le monde sous un jour nouveau. Si je ne pouvais plus marcher au soleil, la nuit s'illuminait d'une toute autre manière. Ce capitaine calma ma faim en me faisant découvrir comment me nourrir désormais. Un jeune grenadier français fit l'affaire. Mc Cormick l'avait capturé et ramené pour moi, puis avais susurré des choses à mon oreille, d'écouter le coeur, de regarder le cou de l'homme terrifié qui me regardait avec les yeux d'un enfant. Je fis totale abstraction de lui, je ne sais comment, je ne voyais plus que sa jugulaire, et son coeur était comme un tam tam envoutant : je me jetais sur lui, le mordis et l'empêchais de se débattre. C'était si facile. Si dégoûtant. Mais ma faim s'apaisait et mon mal s'effaça. J'en voulais un autre. Mon nouveau père me montra comment faire, tandis que nous laissions la dépouille du Français derrière nous.

Durant ces années de guerre, la vie fut facile, il suffisait de suivre les armées, avec, en plus, la certitude, pour moi, de bien faire. On ne me payait plus pour cela, mais ce qu'on ramassait sur les morts était une bien meilleure solde. Nous voyagions au rythme des troupes, et je découvrais le monde. Il y eut une cantinière, Manon, une qui venait de Marseille qu'elle disait. Sa peau douce... je venais souvent la voir, quand d'autres n'y étaient pas. Parfois, je tuais ses amants, quand ils sortaient de sa cantine. Je ne parlais pas. Elle était fascinée par moi, et nos moments étaient merveilleux. C'était la seule que je parvenais à ne pas tuer : je m'attachais à elle. Parfois, ma conscience me reprenait au sujet de mon mariage avec Cat', mais elle me croyait mort, et d'ailleurs, je l'étais, non ? Le contact de Manon, sa douceur, sa tiédeur... j'adorais çà, je redevenais humain avec elle. Ma petite Française prit toute la place dans mon coeur et je ne vivais plus que pour elle. Le soir quand nous faisions l'amour, elle me disais : viens vite de réchauffer en moi, le ravissement était à son comble. Une nuit, Wallace m'emmena à l'écart et me dit avoir une surprise très agréable pour moi. Je le suivis jusqu'à une vieille grange à moitié éboulée, et là, il y avait cinq humains, deux femmes, et trois hommes. Nous avons bu les hommes, fait l'amour aux femmes. Tous portaient une cagoule, et le jeu était de l'ôter une fois mort. Quand je relevais la dernière, c'était Manon. Et je me sentis bien. Parce qu'elle serait toujours avec moi, en moi.

Les années passèrent ainsi, et je m'enfonçais dans l'univers de mon sire avec délice. Tuer un assassin, un soldat, un poivrot, une putain, c'était d'un commun... alors que choisir avec soin la personne servant de repas était le comble du raffinement. Nous allions par les routes, en carrosse, à cheval, parfois à pied, suivant l'état des bourses rencontrées -c'est qu'à l'époque, le travail de nuit était bien rare...-, et découvrions de belles et sordides villes prêtes à nous ouvrir les bras. Mon père avait créé trois autres enfants, j'avais à présent deux frères et une soeur. Parfois, des disputes éclataient, mais la plupart du temps, nous nous entendions bien, sentant le pouvoir que nous avions sur autrui, mais ne chassant que pour nous nourrir, pas pour le plaisir, enfin, si, un peu quand même. Ce n'est qu'en 1852 que je rencontrais, pour la première fois, la Matris de notre clan, et ce qu'elle déclara à nous tous assemblés, me bouleversa. Elle parlait de protéger les humains, pas de vivre grassement à leurs dépens comme nous le faisions, mon père et notre petite famille. Je ne quittais plus des yeux cette Matris jusqu'alors inconnue, et une fois la rencontre terminée, et que les vampires de notre clan se dispersèrent, je demeurais là, médusé. L'un d'eux, Guillaume, me parla. Je le suivis. Il vivait si différemment de nous ! bien sûr, je me tus sur ce qui m'apparut alors meurtre simple, voire cruel, ce qu'était devenue notre vie. Cette nuit là, je m'enfuis.

Le temps passe et court...

Vivre seul n'est pas chose aisée... Je retournais en Angleterre, sans le consentement de mon père, et m'installais à Londres. Là, je fus garçon de salle à l'hôpital du quartier populaire de Hackney. On ne me posait pas de questions, je me fondais au personnel insignifiant, celui qui ramassait la merde, épongeait la pisse et le vomis. On ne me regardait même pas et mon maigre salaire me prouvait que je pouvais vivre honnêtement. Je dormais dans des caveaux d'Abney Park, changeant de temps en temps, de peur d'être découvert. Je fuyais les autres vampires et me nourrissait d'ouvriers ivres morts et de catins. Parfois, je croisais de drôles d'humains qui puaient le chien, c'en était une horreur. Au début, je pensais qu'ils dormaient avec leurs animaux pour avoir chaud, mais une nuit, j'entendis quelqu'un hurler dans mon cimetière. J'allais voir et vis la transformation monstrueuse de l'un d'eux. Une chance que j'ai pu lui échapper. Confusément, je savais qu'il était dangereux pour moi, l'instinct. J'eus peur de retourner dormir à Abney Park, mais où aller ? Finalement, je retournais à mes caveaux, priant tout de même pour ne pas être de nouveau confronter à un tel monstre. Je vis les premiers trains, les premières voitures... Je voyageais dans l'un et conduisit les autres. C'était très bien, de bonnes inventions qui permettaient de se déplacer de manière très confortable et bien plus rapidement qu'avec les trams tirés par des chevaux. Je m'adaptais plutôt bien, ne restant que six ou sept ans dans un emploi, pour changer de ville, tantôt en France, en Irlande, Ecosse, Prusse... Pourtant, je ne pouvais éviter totalement le contact avec mes congénères, qu'ils soient de mon clan ou non. Mes habits ont changé aussi, avec la mode. Je m'adaptais plutôt bien et appréciais le changement.

Le grand amour

1900. Les phonographes, les spectacles, les cabarets, des lumières toutes la nuit, des excentricités, toujours plus, c'était la Belle Epoque. Wallace Mc Cormick m'avait remis la main dessus et sortit de l'hébétude dans laquelle je me trouvais, et nous avons eu une vie flamboyante. La musique, le champagne, les filles, Paris, la ville lumière, les grands hôtels, la haute société... Nous avions changé de monde, complètement. C'est à ce moment là que je rencontrais Colette. Elle venait de Tour, n'avait que 20 ans, et toute la vie devant elle. Et moi, je suis tombé éperdument amoureux. J'ai tout oublié pour elle et nous nous sommes enfuis loin, très loin de mon père, parce que je me souvenais trop bien de ce qu'il avait fait à Manon. Cette fois, il n'aura pas ma femme. Je finis par avouer à Colette ce que j'étais, elle n'eut pas peur et m'accepta comme j'étais. Nous nous sommes fiancés. Je lui ai offert une très belle bague de la place Vendôme, nous avons embarqué sur un Transatlantique. La traversée fut merveilleuse : ne vivant que pour ma fiancée, j'oubliais tout à fait de me nourrir et les passagers n'eurent rien à craindre de moi. Et j'appris à lire et à écrire ! J'étais comblé. Notre arrivée à New York, notre installation dans cette ville immense et pleine de promesses, notre vie à deux, tout fut merveilleux. Nous avions une enseigne d'enquêteur privé. Colette était ma secrétaire, accueillant la clientèle, et moi, je menais les enquêtes la nuit. Nous avions de bons résultats et notre cabinet est devenu célèbre, nous assurant de confortables revenus. Lorsque nous n'avions pas d'enquête, ce qui était rare, nous en profitions pour voyager et découvrir les alentours, poussant jusqu'à Washington au sud et Boston au nord. Notre appartement à Manhattan, à deux pâtés de maisons de notre bureau, était décoré du dernier chic, et je trouvais cette vie exceptionnelle. Tout ce confort comme écrin à notre amour... je débordais de bonheur et ne buvais qu'à la veine de ma femme. Car nous nous sommes mariés, à l'américaine. De toute manière, nous n'avions pas de famille à inviter, ni elle ni moi. Je prenais un médicament depuis 1914, qui me permettait de supporter la lumière naturelle, ce qui nous changea la vie à Colette et moi !

Les années ont passées, bien trop vite. La première guerre mondiale et ses horreurs... je m'engageais, dans une sorte d'euphorie qui nous saisissait tous, sous le regard insistant des affiches de l'Oncle Sam... et arrivais à Nantes en octobre 17. J'étais brancardier. Colette m'avait encouragé, comme elle le faisait tout le temps, mais je savais combien elle craignait pour moi. Elle avait raison... Sur le front, je retombais dans mes travers et me gavait jusqu'à plus soif. Pire, je recommençais à vivre avec d'autres vampires de mon clan. Et encore n'étions nous pas les plus sanguinaires, loin de là. Au milieu des barbelés et de la boue, nous croisions souvent les autres clans, mais les évitions en général. J'ai revu notre Matris, qui nous a répété de protéger les humains autant que nous le pouvions. Ses paroles me réconfortaient et je me souvenais de ma vie en Amérique. Et puis, le capitaine est revenu dans ma vie, et pendant six mois, jusqu'à l'Armistice, nous avons jouis de la mort jusqu'à plus soif. J'étais totalement désorienté et plus je buvais, plus je devais boire, tout était permis, je n'avais plus aucune limite, me nourrissant de toutes les nationalités présentes, l'orgie. Le 2 décembre 1918, nous étions à Paris, en uniforme, et là, nous avons mené grand train, nous gavant, élevant le vice au rang d'art, au milieu des soieries, broderies et ivresse de victoire. Les hommes, les femmes s'offraient à nous et leur bonheur était si communicatif. Wallace n'avait rien perdu de son imagination pour agrémenter nos nuits, oh non...

La nuit la plus longue

La nuit du 20 décembre 1918 s'annonçait parfaite. Un cocktail privé, donné en l'honneur des braves par ces dames de Paris, dans un palace parisien... Bien sûr, mon père, ma fratrie et moi en fûmes, au grand complet, soit onze vampires. Et nous n'étions pas les seuls... Plusieurs clans étaient là. Mais les humains étaient nombreux et les fêtes de Noël approchant, la félicité semblait à son apogée. Un verre de champagne, en uniforme US, je déambulais parmi celles et ceux qui ne tarderaient pas à me nourrir, quand le capitaine fondit sur moi et me dit de m'enfuir. Pour la première fois, je vis de l'anxiété sur ses traits et dans ses yeux bleus si froids habituellement. Je le suivis, tentant de réunir les nôtres, récupérant Denis, William et Dorothy, avant de franchir les portes et de me retrouver dans le froid de décembre. Mc Cormick arriva à son tour avec deux de ses enfants et nous partîmes. "Mais les autres ?" demandais-je... "trop tard" lâcha simplement Wallace. Plus loin, il nous expliqua rapidement, pour les Primes. Comment ? on pouvait nous tuer ? nous chasser ? même moi, qui était le plus ancien des enfants, ignorais tout cela. Dorothy se blottit contre moi, je serrais son épaule de mon bras gauche, et posais tendrement ma joue sur ses cheveux. Et puis, ils ont attaqué, rapides et efficace comme la foudre, tuant immédiatement trois d'entre nous. Nous avons fuit, d'abord, puis Wal' et moi avons fait face pour permettre aux plus jeunes de s'enfuir. Nous avons tué trois chasseurs. Nous étions à égalité. Mais n'avons jamais retrouvé les autres. Morts. Tous. Wallace entra dans une rage folle, puis sombra dans une sorte d'hébétude qui m'inquiéta. Je le soignais comme je pus, lui apportant des proies. Il refusait de boire... Finalement, je trouvais un jeune lieutenant anglais, dont il fit son fils. Maintenant que mon père était occupé, je retournais à New York, retrouver Colette.

La plus grande douleur

J'étais un privé reconnu, mais les années d'après guerre n'étaient que peu propice aux enquêtes privées. Nous avons quitté New York pour Chicago, et là, j'ai travaillé dans une entreprise de pompes funèbres. Oui, c'est très cliché pour un vampire, et la paie était bien moindre que celle que je tirais de mes enquêtes à New York... cependant, l'entreprise pour laquelle je travaillais, donc, se mit à transporter autre chose que des morts, et ma paie doubla, et même tripla à un moment. Moi, je conduisais un corbillard, toutes les nuits, pour livrer du whisky de contrebande aux bars clandestins qui fleurissaient dans toute la ville. Eviter la police était un jeu pour moi, par contre, les loups garous étaient bien trop nombreux ici, et plusieurs fois, je faillis y passer. Convaincre Colette de changer d'endroit ne fut pas difficile : elle détestait Chicago. Il y faisait froid, et la guerre des gangs la terrifiait. Nous sommes donc partis pour San Francisco, puisqu'elle en rêvait... et de fait, c'était une ville fabuleuse, avec ses jardins, ses quartiers victoriens, ses tramways à câbles, et même ses plages ! Moi, j'y allais tout habillé, pretextant ne pas savoir nager, mais elle, en maillot de bain, était magnifique.

Un jour, Colette m'accueillit debout, juste derrière la porte de notre maison mitoyenne qui se situait à mi-côte d'une rue très pentue. Je sus tout de suite que c'était grave. Le médecin, puis à l'hôpital, tous lui avaient dit que sa maladie la condamnait. Jamais ma femme ne m'avait parlé de cela... Je m'assis sur le canapé, et lui proposait de la faire mienne à jamais, mais Colette refusa. Etre humaine était important pour elle... Nous étions en 1938 et personne ne savait soigner le cancer qui la rongeait. Je travaillais comme contre-maître au port et gagnais bien ma vie, mais même avec plus d'argent... je n'aurai pu la sauver. Le seul moyen, elle le refusait. Il faisait 39° en ce mois d'août 1939... Sans cesse, je passais un linge mouillé sur son visage, ses bras, ses jambes... La morphine ne la soulageait plus. C'était terrible de la voir ainsi partir et je me souvins de Manon. Sa mort, finalement, avait été plus douce, enfin... plus rapide. Il n'y avait personne... le rideau blanc qui la séparait des autres malades étant tiré... je bus une dernière fois à sa veine.

Après son enterrement, je partis, sans rien emporter de notre maison que je laissais ouverte.

La folie du monde

Je rentrais en Angleterre, trouvais un emploi d'aide soignant au St Mary's hospital dès octobre 40. Je vécus les bombardements aussi stoïquement qu'il était possible, n'offrant que le visage triste d'un veuf éploré, fuyant mes collègues et les autres vampires, je rencontrais pourtant une sorcière venue pour sauver une femme d'une mort certaine. Je savais que c'était une sorcière parce qu'elle était arrivée dans la chambre avec des drôles de choses et que je l'avais surprise au moment d'une invocation. La femme, petite et brune, me dévisagea, moi aussi, mais nous ne nous dîmes rien. Elle finit son rituel, et la malade sortit de l'hôpital, sans que l'on puisse expliquer sa guérison soudaine.

Je fis tout pour retrouver cette femme étrange, et elle finit par me dire qu'elle était bien une sorcière. Je l'interrogeais sur le cancer, mais là, elle m'avoua son impuissance. Ainsi, même si j'en avais connu une avant, Colette n'aurait pu être sauvée...

La guerre s'intensifiait et je me retrouvais avec un uniforme, pour la troisième fois de ma vie. On me fit courir, sauter, on m'apprit à faire des piqûres et des pansements à la va-vite, dans l'urgence, le feu de l'action. Mon calme et ma douceur impressionnait et sauvèrent bien des soldats après le 6 juin... J'étais donc de retour en France, à Paris, puis dans les Ardennes. Le froid, les corps gelés, déchiquetés, décomposés... rien n'avait changé en plus d'un siècle... non, rien. Puis je découvris l'insoupçonnable... les camps de concentrations... comment pouvait-on traiter les vampires de monstres après cela ?!!! c'était pourtant ce que faisaient les Primes, que jusque là, j'avais pu tromper. Parfois, j'en repérais qui m'observaient. Mais je me tenais si bien qu'ils ne pouvaient être certains. Ensuite, c'était eux ou moi... alors, je les tuais.

Une fois démobilisé, je me demandais que faire... Retourner en Angleterre, sans doute... mais avant, je vécus en Italie, dans la pauvreté criante d'après guerre. C'était un bien beau pays pourtant... et Wallace m'y retrouva. Nous avons recommencé notre vie, vivant dans de magnifiques palais à Florence, puis à Rome, nous gavant, vivant comme des princes sur le dos d'humains qui ne se doutaient même pas de notre véritable nature. La corruption italienne n'est pas un vain mot, et elle est le lit parfait de celle des vampires. En fait, à cette époque de ma vie, je me demandais pourquoi tous les vampires n'étaient pas Italiens ?... Mais une nouvelle réunion de notre Matris m'éloigna à nouveau du capitaine, et je retournais sagement en Angleterre, à Brighton, minuscule ville où je devais bien prendre garde à ne pas me faire repérer. J'y vivais en regardant la télé et en travaillant dans un hôtel, comme gérant. Les touristes y venait pour prendre le bain, c'était une vie plutôt facile, mais banale, ce qu'il me fallait pour me reposer de tout ce que j'avais vécu. Je faisais encore des cauchemars de cette maudite guerre et de ce que nous avions vu en Allemagne. J'avais aussi vu des victimes allemandes de bombardement au phosphore, qui brûlaient dès qu'elles sortaient de l'eau... on les achevait à coup de fusil. Je ne dormais plus ni le jour ni la nuit pendant plusieurs années. Etrange comme les années italiennes m'avaient évité ces cas de conscience...

La fin du clan des loups

2007. Année noire. A cause d'une sombre histoire d'amour, tout à basculé. Les clans vampires se sont affrontés, jusqu'à la mort, et les Primes n'ont eu qu'à se baisser pour nous achever. Notre clan s'était tenu à l'écart de cette idiotie, mais comme nous étions peu nombreux, c'est sur nous que sont tombés les Primes, nous exterminant sans pitié. Grièvement blessé, je ne sus comment je parvins à me traîner jusqu'à Abney park cemetry. Je le connaissais par coeur et parvins à me cacher là-bas, au fin fond d'un caveau. J'ai entendu les recherches faites pour trouver tout vampire possible... mais heureusement, les Primes ne trouvèrent pas ma cachette. Lorsque je sortis de là, un an plus tard, affamé, efflanqué et moralement détruit, je ne trouvais plus rien du clan des loups, pas même notre Matris. Qu'allais-je devenir ?... Je pouvais vivre seul, je me l'étais prouvé plusieurs fois. Après m'être nourri, lavé, peigné, rasé, bref, remis sur pieds, j'osais m'aventurer dans les rues de Londres. N'ayant plus de médicament à disposition, j'en fus réduit à me déplacer de nuit à la rechercher d'autres vampires... Finalement, j'appris que seuls deux clans avaient survécus, les Serpents et les Renards, et visiblement, je devais faire un choix. Défendre les humains ? après tout ce qu'ils avaient fait ? non, je ne le voulais pas. Mais les traiter comme du bétail ou des objets, non plus. Un bon moment, je réussis à éviter de choisir mon camp, mais ce fut vite intenable. Pourquoi s'opposaient-ils si fermement l'un à l'autre? Ne pouvait-il y avoir une troisième voie ?

Un nouveau départ


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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeDim 25 Mai - 11:01

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Crystal Anderson

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeDim 25 Mai - 11:46

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Sinnéad McHolt

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Hayden Mitchell (fini) _
MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 26 Mai - 6:14

OH MON DIEU AIDAN TURNER *_*
j'avoue groupiser avec Sin ça fait weird mais bon
WELCOME
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Hayden Mitchell

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Hayden Mitchell (fini) _
MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 26 Mai - 6:23

ah... merci de votre accueil !

Sinnéad : ah !! je suis super trop fan d'Aiden Turner, je ne pensais plus trouver quelqu'un comme moi...
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October Paloma Landy

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Hayden Mitchell (fini) _
MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 26 Mai - 6:48

Ah bah tu prêches une convaincue putain, AIDAN j'en suis dingue, très très bon choix d'avatar Smile
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Hayden Mitchell

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 26 Mai - 6:49

merci !
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Odin Löfgren

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 26 Mai - 8:31

Bienvenu !!!
 Hayden Mitchell (fini) 4270078285 
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Elysa Melindra

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeMer 28 Mai - 5:42

BIENVENUUUUUUUUUUUE !!! (même si tu en fais un Reynard...  Hayden Mitchell (fini) 2719915488 )
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Hayden Mitchell

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeMer 28 Mai - 7:44

merci ! t'inquiète.. je pète parfois grave un câble...  Twisted Evil 
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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeVen 30 Mai - 0:40

Bienvenue parmi nous Very Happy
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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeSam 31 Mai - 4:21

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 9 Juin - 14:23

En voila une fiche complète et bien construite c'est très agréable de te lire. Je pense que mon Iakov et toi pourraient être amis Smile

Tu es validé(e)!
bienvenue à Dublin!

Non, non tu ne rêves pas! Tu as bel et bien été validé par un des membres de notre staff. Tout d'abord félicitations!


La première étape obligatoire à faire est tout d'abord de recenser ton avatar et c'est par ici. Après il faudra que tu recense aussi ton prénom et ton nom de famille (même si tu es un pv ou un scénario) et c'est par là! De plus si jamais tu es un double (ou triple ...) compte viens te manifester dans ce sujet ici.

Si tu as peur de ne pas réussir à t'intégrer sur le forum ou tout simplement que tu cherches des conseils et l'attention de quelqu'un tu peux également poster dans la Section Parrainage, tu y trouvera rapidement un parrain dévoué. Tu peux aussi si tu as des personnages indispensables à ton histoire aller créer des scénarios rien que pour toi tu trouvera les instructions dans ce petit sujet ici!

Mais n'oublie pas que nous aimerions en savoir plus sur toi. Certes ta fiche est superbe mais n'oublie pas de t'occuper de tes liens dans cette section et tes topics dans celle là. N'oublie pas qu'il est toujours utile de préciser ce genre de choses, notamment les liens, tu aimes savoir qui est ami avec qui? L'inverse est aussi vrai! Les Demandes de base sont également importantes et se trouvent par ici pour ce qui est des logements, colocataires, emplois ou rangs.


Désolé pour ce blabla, mais il fallait bien le faire tu sais Maintenant que tu es prêt à jouer bah ... Bon jeu!
css html par kusumitagraph' de ex nihilo
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Hayden Mitchell

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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitimeLun 9 Juin - 20:08

merci !
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MessageSujet: Re: Hayden Mitchell (fini) Hayden Mitchell (fini) Icon_minitime

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Hayden Mitchell (fini)

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